• Y'a des trucs comme ça, qui me cassent le moral.

    J'ai lu, il y a bien longtemps, sur l'application iPhone du site SeCoucherMoinsBete (qui est payante sur iOS mais gratuite sur Android, je le précise), que, comment dire ? Ca :

    Juste avant son décès en 1955 dans un hôpital américain du New Jersey, Albert Einstein aurait dit des mots en allemand selon l'infirmière qui était à son chevet. Celle-ci ne parlant pas allemand, on ne saura jamais ce dont il s'agissait.

    Frustrant, non ? Moi, je vais vous dire, c'est quelque chose que j'aurais préféré ne jamais savoir. Vous vous rendez compte ? On ne connaîtra jamais les derniers mots d'Einstein, le plus grand génie (bien que défacé ces derniers temps par une particule qui va plus vite que la lumière), en tout cas le plus connu. Sérieusement. Imaginez que ce soit une nouvelle importante, du style : "La fin du monde arrive en 2014, je l'ai remarqué le mois dernier en regardant l'espèce de pierre qui arrive droit sur nous.", ce serait grave. Ou alors encore que ce soit un truc du genre : "Je vous ai bien eu ! Tout ce que j'ai dit était faux, et vous m'avez cru !". Et en plus maintenant, toute la physique quantique est basée sur ses dires et ses études. Espérons que ce ne soit rien de grave. En tout cas, si j'étais cette infirmière, j'aurais un grand sentiment de culpabilité de ne pas avoir pris Allemand LV1... Ou de ne pas lui avoir amené de quoi écrire ou quoi que ce soit qui permette de savoir, un jour, les derniers mots du génie.